De Téhéran à Riyad, la Chine s’affirme au Moyen-Orient, profitant du vide de puissance laissé par le « pivot asiatique » américain. Dans les études sur le Moyen-Orient, rares sont celles citant la Chine comme puissance régionale. Pourtant, et alors que la Chine célèbre volontiers les voyages de l’amiral Zheng He au XVe siècle (à Ormuz, enLire la suite « De Téhéran à Riyad, la Chine s’affirme au Moyen-Orient, profitant du vide de puissance laissé par le « pivot asiatique » américain. »